Jeune aurore [pv]

Jeune aurore
Whyr

Evoque sa puissance, chante sa grâce dont la lumière est la robe,
et la voûte céleste, l'espace.
Les nuages de tonnerre naissent de ses charriots de rage,
sombre est le chemin sur les ailes de l'orage.

Alors que le matin illuminer de mille couleur la rosée qui n'avait pas gelée.
De fine gouttelette de pluie venais s'accrocher au pelage blanc de Tsiguane.
La jeune louve marchais s'en bruis, ces yeux brins semblais se gorger de toute chose qu'exposer le splendide paysage naissant.
Sa tunique blanche ivoire la détacher des ténèbres encore vacantes en se tôt matin.
Le léger vents faisait vibrer les feuilles présente en grand nombre, libérant une chausson envoutante.
Tsiguane qui semblais s'en bute avancés pourtant avec l'idée de visiter la terre de ces ancêtre.

Au fin fond de sa mémoire, elle se remémorais sa mère de substitution. Celle-ci lui avait toujourd parlé de sa mère, La Grande Blanche, avec respect, elle lui avait décrie une terre, foulé d'innombrable fois par elle et la Grande Blanche. Elle lui avait cité un lieux caché entre deux collines et emplis de danger divers. Elle lui avait compté, que seul leur meute avait réussit à dompter les éléments. Elle lui avait parler de Goliath... et d'amazone...

Pour Tsiguane rien n'avait aucune signification à tout se charabias, mais fouler la même plaine que sa mère avait pus le faire précédemment était un honneur pour elle.

La queue haute et l'attitude rebelle, la jolie louve découvris les dires de Shana. La crête de Goliat était exactement comme on le lui avait décrite, aussi belle et gracieuse que dangereuse et dévasté.

Mais Tsiguane avait comme déjà vécus cette instant, et les éléments qui semblais tourner contre elle, semblais facile à contourner. Elle avait l'impression de savoir ou aller.

Agréablement surprise et alaise, Tsiguane continuas sa marche telle un fauve sur son propre territoire.

Whyr aussi avançait sur ces terrains encore inconnus pour elle. La jeune louve était perdue et affamée et pourtant, une lueur de détermination luisait dans son regard. Elle avançait la tête haute et la queue relevée d’un pas haleté. Car bien que presque anéantie par le désespoir, elle ne voulait pas abandonner, pas se laisser abattre par le chagrin... Que gagnerait-elle à se laisser dépérir ? Après tout, comme le dit la devise : tant qu’il y a de la vie, il y a de l’espoir. La Solitaire n’y croyait qu’à moitié, mais cela représentait un tel réconfort et y songer lui permettait de ne pas sombrer…

Elle arriva ainsi sur la crête Goliath, une épaisse chaine de montagne. Ce lieu ne représentait rien pour elle, elle n’était pas d’ici. L’aurore se levait, nouvelle et éternelle. Le ciel était d’un rose/orangé magnifique et semblait être la promesse d’un avenir meilleur. Devait-elle, non, pouvait-elle y croire ?

Soudain, la brise légère lui apporta l’odeur d’une louve. Whyr hésita. Qu’avait-elle à perdre à prêt tout ? A part sa solitude… La jeune louve au pelage d’argent descendit rapidement quelques hauteurs en deux ou trois bons. Elle atterrit avec la souplesse d’un félin devant une louve qui ne devait pas être son ainé de longtemps au beau pelage ivoirin. Celle-ci ne semblait pas féroce c’est pourquoi la solitaire se décida à l’aborder humblement. Comme dit plus tôt, elle n’avait rien à perdre et peux être quelque chose à gagner.

- Bonjour…-